Régulation Bolivie : ce que dit la loi sur les cryptomonnaies en 2025

La régulation Bolivie, le cadre juridique qui encadre l'utilisation des actifs numériques dans le pays. Aussi connu sous le nom de cadre légal des cryptomonnaies en Bolivie, il reste l'un des plus stricts au monde. En 2025, la Banque centrale de Bolivie maintient une interdiction totale de l'utilisation des cryptomonnaies comme moyen de paiement. Pas de Bitcoin, pas d’Ethereum, pas même un stablecoin pour régler un café. Cette règle, entrée en vigueur en 2014, n’a jamais été assouplie — contrairement à la plupart des pays voisins.

Mais derrière cette loi, une réalité différente s’écrit. Les Boliviens utilisent des transactions P2P, des échanges directs entre particuliers, souvent via des applications de messagerie. Ce sont des réseaux informels, non régulés, mais extrêmement actifs. Le marché noir crypto y prospère, avec des vendeurs qui acceptent des devises numériques en échange de dollars cash, ou de produits importés. Le blockchain Bolivie, la technologie sous-jacente aux cryptomonnaies. Ce n’est pas elle qui est interdite — seulement son usage comme monnaie. Des développeurs locaux continuent de construire des outils sur Ethereum et Solana, pour des projets de traçabilité agricole ou de gestion de micro-crédits, sans jamais mentionner le mot « crypto ».

Les banques boliviennes ne peuvent pas ouvrir de comptes pour des portefeuilles numériques, ni traiter des transferts en Bitcoin. Mais des entreprises privées, souvent basées à Santa Cruz ou La Paz, proposent des services de conversion en espèces via des points physiques. Vous achetez 100 USD en crypto sur Binance P2P, vous envoyez la clé à un intermédiaire, et 15 minutes plus tard, vous récupérez le cash en pesos boliviens. C’est illégal, mais courant. Et personne ne va en prison pour ça — la police n’a ni les moyens ni la volonté de traquer chaque transaction.

La loi crypto Bolivie, le texte officiel qui interdit les cryptomonnaies. Ce n’est pas un débat politique. C’est une décision historique, prise par crainte de la perte de contrôle monétaire. Le gouvernement préfère que les gens utilisent le peso, même si l’inflation ronge son pouvoir d’achat. Pourtant, les jeunes, les travailleurs à l’étranger, et les commerçants ont trouvé un chemin de contournement. Ce n’est pas de la rébellion. C’est de l’adaptation.

Les articles ci-dessous détaillent comment les Boliviens vivent avec cette interdiction, quelles sont les alternatives réelles, et pourquoi ce pays reste un cas d’étude unique dans le monde crypto. Vous y trouverez des témoignages, des méthodes pratiques, et les risques réels que personne ne vous dit.