Jordan : ce que les cryptomonnaies et la blockchain font dans ce pays

Le Jordan, un pays du Moyen-Orient qui teste une approche prudente mais croissante des technologies blockchain. Il n’est pas la Suisse ni le Wyoming, mais il ne bloque pas non plus les cryptomonnaies comme la Bolivie. Au lieu de ça, il observe, expérimente, et laisse les jeunes entrepreneurs construire des solutions en marge du système bancaire traditionnel. Ce n’est pas un pays où vous allez trouver des banques qui acceptent le Bitcoin pour acheter une maison. Mais c’est un endroit où des jeunes utilisent des wallets pour recevoir des paiements depuis l’étranger, où des start-ups testent des contrats intelligents pour le transfert d’argent, et où les airdrops de projets GameFi ou NFT attirent des milliers de participants.

Le blockchain, une technologie qui permet de transférer de la valeur sans intermédiaire. Dans ce contexte, elle devient un outil de survie économique pour beaucoup. Les transferts de fonds vers la Syrie ou l’Irak, les paiements pour le freelancing à l’étranger, les remises familiales : tout cela passe souvent par des solutions décentralisées. Les banques locales imposent des limites strictes, mais les wallets ne posent pas de questions. Et ce n’est pas une mode — c’est une nécessité. Les airdrops, des distributions gratuites de jetons pour attirer des utilisateurs. Ils sont partout en Jordanie. Des projets comme Faraland, Bot Planet ou DeHero ont des centaines de participants locaux. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont pas besoin d’un compte bancaire. Ils n’ont besoin que d’un téléphone et d’un peu de temps. Ce n’est pas de la chance — c’est de l’accès. Vous ne trouverez pas de loi officielle sur les cryptomonnaies au Jordan, mais vous trouverez des groupes Telegram actifs, des cafés où l’on parle de Solana, et des étudiants qui minent en arrière-salle.

Les projets liés à la régulation crypto Moyen-Orient, les efforts des pays de la région pour encadrer les actifs numériques sans les étouffer. Le Jordan suit les pas de l’Arabie Saoudite et des Émirats : il veut attirer les investisseurs, mais sans perdre le contrôle. Il n’a pas encore créé de licence pour les exchanges, mais il surveille de près les plateformes qui opèrent sur son sol. Ce n’est pas un pays hostile — c’est un pays en train d’apprendre. Ce que vous trouverez ici, dans cette collection, ce ne sont pas des articles sur les prix du Bitcoin à Amman. Ce sont des analyses concrètes : comment participer à un airdrop sans se faire piéger, pourquoi un échange comme Bitocto est dangereux même s’il accepte les paiements en roupie jordanienne, comment les contrats intelligents peuvent révolutionner les documents de transport — même ici. Vous verrez des cas réels, des erreurs communes, des pièges à éviter. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste ce que vous devez savoir pour ne pas perdre votre argent — et peut-être en gagner un peu.

Jordan : fin des interdictions bancaires sur les transactions en cryptomonnaie

Jordan : fin des interdictions bancaires sur les transactions en cryptomonnaie

Robert Knowles 6 avril 2025 0 Commentaires Cryptomonnaies

La Jordanie a levé son interdiction bancaire sur les cryptomonnaies avec une nouvelle loi en 2025. Les banques peuvent désormais échanger et garder des actifs numériques, mais pas les transférer. Voici ce que cela change pour les particuliers et les entreprises.

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